Il entame son set par « Everybody dies », « Tony Orlando and the Fantastic Five», «Ordinary life» et le très beau «Wolves». Paco Volume propose une reprise de Kim Wilde ; « Kids in America », réussie. Il poursuit avec d’autres morceaux de son premier album, joué en quasi-intégralité ce soir : « Stand by me », « Judas », « 4th Street approximately », « Manhattan baby », « Discontinued things », nous permettent d’apprécier les talents de ce compositeur atypique ! Le bassiste le soutient aux chœurs, mais on ne l’entend pas bien, dommage.
Il échange beaucoup avec son public, trouve des explications fantaisistes pour le titre de ses chansons, il se sent bien dans cette salle, dans le courant du mois de janvier, il y a été en résidence pendant trois jours…
Pas de rappel pour Paco Volume, mais une très forte demande de la part du public (ils sont assez nombreux finalement pour lui !) pour le premier extrait de l’album « Cookie Machine », au chant qui évoque tellement Bowie ! Le couple à côté de moi n’en peut plus, il ne veut que PPRR, désolée, mais ce morceau là et incontournable, et vous n’y couperez pas ! Le Plan apprécie, chante, et s’envole un peu avec Paco!
Un joli concert, Paco a presque réussi à conquérir tous ceux qui ne s’étaient pas déplacés pour lui, du moins de mon côté de la salle c’est ce que j’ai perçu (sauf pour le couple à côté de moi…), et cela a été confirmé par ce que j’ai pu entendre pendant l’entracte. Sympathique, communicant, de bonnes compositions, les ingrédients du succès étaient présents.
Crédits Photos : Florent Dechard – Chronique Hiboo